lundi, février 18, 2008

Délire médicamenteux , angoisse pré examen hospitalier et sodomie passive


Il est deux heures moins le quart je voulais avant que tu ne sombres entendre ta voix me dire que tout ira bien , que de toute manière c'est un bon pote qui assistera le toubib , que si il y a mauvaise nouvelle il me le dira franchement mais avec diplomatie et que de toute façon il n'y aura pas de mauvaise nouvelle que je suis con de m'en faire pour rien comme d'habitude et que merde tu as sommeil !
A la place de ça je tombe sur une voix froide qui m'annonce que tu est déjà en ligne qu'on me remercie de bien vouloir renouveler mon appel ultérieurement ... Tu était trop fatiguée pour parler m'avais tu dit surement pour parler avec moi ... Ne fait pas attention les somnifères que j'ai ingurgité pour dormir un peu ont déployés leur arsenal des plus mauvais effet secondaire.

Et ça me renvoie en Novembre la douleur l'inquiétude la paranoïa je sens tout mon corps qui essaye de s'autogerber . Le coté paranoïaque gerbe le coté confiance qui gerbe le coté paranoïa etc...
Et je m'en veux car j'ai laissé le chimique prendre le dessus et me redonner l'impression que tu est a ma disposition je sais que quand l'effet seras estomper d'ici quelques heures cela aura disparu , et je t'en veux de ne pas avoir été franche et d'avoir permis a ces putains de pilules d'ouvrir la porte et surtout je m'en veux de t'en vouloir ...